Rignac (12) - St Antonin-Noble-Val (82) 

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St Antonin-Noble-Val (82) - Lévignac (31)

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Lévignac sur Save (31) - Mirande (32)

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Mirande (32 - Lourdes (65)

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Lourdes (65) - Navarrenx (64)

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Etape: Navarrenx (64) - Urt (40)

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Urt (64) - Hendaye (64)

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P'tite excuse, pour les absents de ce montage... joêlle ne connait pas encore tout les Addms

Indiscutablement ce 6^ième 24 heures aura été le plus long ! Parti Jeudi soir à 18h, pour un retour Dimanche soir à 19 heures. A notre arrivée vers 23 heures nous sommes accueilli par le gardien intérim du gymnase  « allias Papy13 » pour les intimes Maurice.

Stéphane, nous avons appréciez ta formule collector , que cela à été agréable de pouvoir se préparer tout en douceur… d'installer notre paddock, de regarder nos champions Addm monté leur barnun   sous le chaud soleil Clermontois, le temps d'une agréable collation  avec l'ami Marcel à midi, d’offrir le café à notre voisine du Top courir Marseille … La p'tite phrase de Daniel, ici en supporter de son épouse Sylvie, "arrête de déballer, sinon j'te fais payer une taxe d'habitation " l'allée du gymnase resemblant à un camping où une brocante ! Vivement le Lundi 11 Novembre 2013 … encore un WE de 3 jours !!!

Vendredi 11 Novembre 2011 à 16 heures

Vitesse de départ 8,3 avec en toile de fond ce doux rêve de tout circadien de franchir cette barre mythique... Du 1^er tour au 36^ième je navigue entre 7’30 et 8’ 30 au tour… Je pourai comme beaucoup partir  plus vite, mais ne voulant pas subir, je veux rester le pilote de l'avion ! Faire durer le plus longtemps possible, et prendre du  plaisir.

36ième tours … passage du  marathon, j’en profite pour passer un vêtement sec et du coup j’y laisse + 8’ soit 1 tour.

42^ième tours c’est le passage des 50 kilomètres, premier volet du contrat rempli à cet instant je suis très serein, je suis surpris par le calme qui m’accompagne… cet horaire de départ, me convient, mais ce n'est pas une surprise... je le savais. J'arrive et c'est une première à faire abstraction à mon entourage, je me suis entrainer pour tenir à 8,3, en alternant course/marche pour DURER et rien mentalement ne peut venir me perturber et si c’était mon jour !

A peine entrée dans la deuxième tranche de 6 heures qu’une douleur apparaît, elle devient de plus en plus pénible, difficile de rester concentré sur ma course. La  même qu’il y a 2 mois à st Laurent,  elle se situe sur la pliure des doigts du pied droit uniquement. Est-ce dû à une pointure de + 1 ½ … mais alors pourquoi pas l’autre ? Pourquoi prendre si grand... parce que se profile à l'horizon 2012, un grand défi et je commence à tester les pneumatiques !

48^ième tours, Km 56, je prendre la décision de changer uniquement la chaussure droite et  la chaussette . pourquoi changer l'autre, puisque tout est au vert !!! Décision sage, mais trop tardif…. La douleur est persistante. Résultat de l’opération, quand je repasse la ligne  17 minutes le tour, encore 1 tour d’égarer dans la nature.

Et comme un événement  ne vient jamais seul, je  profite de mon arrêt  pour prendre une boisson énergisante, idée saugrenue aprés avoir ingurgité  une bonne soupe maison  préparer la vieille par Joëlle … je ne vous explique pas la suite, 2 purges maison en 3 tours… sans conséquence pour la suite ! Et encore… des poussières de minutes qui s’accumulent !

78^ième tours : km, 92 la douleur du pied s'éclipse petit à petit et c'est à ce moment que mes  genoux décident de s’inviter dans le jeu !  fait rarissime. Pas question de prendre le moindre risque, depuis 2,3 jours je sentais une sensation bizarre, alors   n’y une, n’y deux j’applique mon plan « B ». Je retourne mon dossard dans sa pochette  se trouve  ma feuille de route avec une colonne à 8,3 & 7,2.  Honnêtement, je pense que j'aurai pû mener ma p'tite entreprise assez loin,  je gèrais très facilement cette allure d'alternance à 8,3 .

Ce plan "B" tout faire pour égaler ma marque de Peynier 2009, soit 171,900 pour cela la donne est simple courir à 7,2….sur le papier cela semble facile, oui mais l’arrivée est encore très loin… et tout peut arriver ! Grâce à mes 8,3 cela me laisse un petit confort de temps, alors  comme la douleur m’énerve… où est le plaisir quand on subit, je prends la décision d’aller m’allonger 20 minutes dans mon "ibis"  pour calmer tout ça ! Lorsque je repart, cela devient un vrai jeu de  poker … je n’ai plus de matelas de sécurité, je suis obliger de ne rien lâcher…tenir… mon contre la montre peut commencer.

89^ième  tours km 105 la douleur au pied c’est fait oublier… mais pas disparue… mes genoux commencent a jouer aux castagnettes … alors  je décide de mettre mes chaussures de trial… des vraies pantoufles… la douleur diminue, mais restera présente jusqu'à l'arrivée, le plaisir revient, je flirte de nouveau à 8’ au tour  pas de gain de perdu…. J’alterne course/marche…. j’économise mes genoux,  avec le recul, je me dis que j'aurai pu courir beaucoup plus sans cette douleur...quoique ! je me serai peut-être aussi "cramé".  Je pense que cette douleur et le résultat d’une "connerie" dans ma prépa, 15 jours avant j’ai fais  un  trial de nuit de 25 km, avec pas moins de  2  chutes ! 

122^ième tours, km  142 le sommeil me gagne, un 24 n’est pas un long chemin tranquille ! sans hésitation, je décide de faire une micro sieste de 5 minutes, en moins de 30 secondes je déserte le monde de la circadie.

17^ième heures…. Que du bonheur, à ce stade de l’épreuve, les locomotives ont besoin de retrouver un second souffle… la locomotive que j’accroche arrive du sud ouest ! Merci Chantal et Jean Pierre bonne chance pour ta TransEurope 2012. Mon souci, est de rester le wagon, ne pas les perturber où les agacer… je reste derrière, ne voulant pas les obliger à notifier leur trajectoire, c’est grisant de voir de nouveau tomber les tours comme dans les première heures.

Au 128ième tour, km 151 comment ne pas résister …. Un bref arrêt et je repart en cuissard court, lunette de soleil, un vrai bouquet final.

145^ième tours, km 171, 400 A cet instant ma marque est sur le point d’être battue, soulagement, depuis cinq 24, j'attendais cet instant et pour tout dire je commençais à douter. Pour savourer cette nouvelle marque, je décide de faire ce tour en marchant.

146^ième tours, km 172,400 La pendule indique 23 h 51 de course, la magie opère, cette sensation de vitesse sur ce dernier tour est grisante… avec ce suspens aurai-je le temps de finir ce tour, je veux finir sur la ligne  avant le 2ième coup de pistolet ? Mieux je le finirai une trentaine de mètres après la ligne d’arrivée à hauteur du stand Addm !

147^ième tours, km 173,656 mètres. Nouvelle marque….. Qui demande à être de nouveau battu  à St Fons où  Roche en 2012 !  Mais l’heure est actuellement à la coupure, à la décompression. Avant un projet auquel je pense chaque jour en me rasant, réaliser une diagonale Sud-Est - Sud-Ouest de 1000 kilomètres... un "off...sentimental"

Un 24, c’est beaucoup de foulées, mais aussi de nombreux encouragements merci, Jean-Paul pour des innombrables  appels…. Même depuis ton vélo !!! Le prochain si tu es libre je t'embauche, car je m'éparpille beaucoup trop... j'ai bessoin de "coup pompe au c.."  pour me remettre dans le sens de la marche, j'suis trop indiscipliné.

Merci, Sylvain, Cédric, François, Pascal, louis Benoît, Lionel, Marcel de la famillau

Merci, Chantal, jean Pierre, Maurice, Renaud, Frédéric, Manu, Vincent, Seb’, Fab’, Oliv’ des Addms

Merci Stéphane et à toute ton  équipe.

Classement:

• 42ième
• 7,2 de moyenne
• 10 ième V2 (Homme/Femme)

Encore un  week-end magique... sur la route de notre retour une  rencontre inattendue , Digit et son frère, en compagnie de papa & maman Thivillon, fondateur de la maison des gorilles à St Martin-la-Plaine. Si vous passez un jour entre St Etienne et Givors, faite le détour.

vu, de nos propres yeux...

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Objectif.... Franchir cette barre des 171,900 km réalisé en 2009... et pourquoi pas la faire .... EXPLOSER !!!!!

Encore une P'tite semaine .... et aprés VACANCE !

 On ne peut être certain qu'on ne recourra jamais à telle ou telle chose. Un engagement est toujours incertain car les contextes et notre vision du monde peuvent varier dans le temps.

Pourquoi je dis cela : Parce que je suis prêt à retourner ma veste.... mieux avoir un discours d'homme politique ! Voilà ce que j'écrivai... pas plus tard qu'il y a 2 mois: Le circuit mesurant 1150 m, la donne est simple faire 7 tours/heure. Et comme je suis pas « branché » technologie … le fonctionnement de mon polar et simple… à chaque tour j’échangeais  des petits élastiques multicolores d’un poignet à l’autre… méthode très efficace pour gérer ses tours et son allure. L’utilisation d’un polar … me pomperai certainement de l’énergie et du stress ça marche jamais très longtemps ces trucs là.

Le hasard de la vie.... fait que mon nouveau voisin est le responsable du rayon running du  Déca du coin , résultat ... je coure depuis plusieurs jours avec un super bracelet velcro en prêt  !!! La Géonaute Keymaze 300... la "low cost" des GPS ! Si je l'utilise c'est dans  un seul but, sa vitesse instannée et l'affichage des kilomètres parcourues ... ce qui me permettera de se réguler en "direct" et non plus "en différer" une fois les tableaux d'affichage mis a jour dans les épreuve de 24 hrs.

Une marque qui s'est toujours efforcée à satisfaire les sportifs de tous les niveaux en leur offrant des appareils d'une activité sportive typiquement adaptée à l'environnement car le plaisir procuré par la pratique d'un sport dépend de l'endroit où on le pratique. La suite: http://www.skitour.fr/matos/gps/geonaute-keymaze-300

Dernière sortie longue hier soir, à l'occassion du Trial d'Izernight. Maintenant éviter la fatique et la blessure, des sorties courte max. 1h / 1h15. Reste à préparer la valise ...

Décathlon m'a prêté un GPS, simple d'utilisation... est-ce une bonne idée de l'utiliser ? Oui si j'ai le temps de le maîtriser d'ici là !

Dernière semaine avec un volume kilomètrique élévé... cela tombe bien, la lassitude commence à se faire ressentir ! une super sortie Samedi à 7 hrs du mat'... avec les premières gélées !

et maintenant... le Izernight ( http://izernight.wifeo.com/)  Samedi prochain  ... histoire de se changer les idées.

Récapitulatif:

P'etit alerte Vendredi aux quadriceps... cela est dû certainement à la charge de travail. Au cours de cettte préparation ... je travail sur tout terrain . Car je pense que durant ces dernier mois j'ai beaucoup perdu en masse musculaire... le cyrano a ses Inconvénients, la machine tourne au ralenti.

Samedi, sortie de 7h/9h.... dans le froid matinée d'Octobre... juste avant la demi finale de rugby.

Dimanche, Bi-séance...  9h/12h Avec dans les oreilles.... la deuxième demi finale. et ce soir 17h/19h sortie sur route avec fort dénivellé. Le volume kilomètrique est  progressivement en hausse, il n’est pas concevable , de viser immédiatement le volume maximum . Les effets seraient néfastes et à l’opposé de l’objectif visé. Il faut respecter une progression dans les charges de travail. A vouloir trop en faire, de la fatigue est engendrée et cela deviendrai non productif, La  semaine à venir  sera encore en hausse... avant à J- 3 semaines une baisse du volume.

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 * Définition de fartlek: En suédois, le mot fartlek signifie littéralement ''jeu de course''.Il s’agit d’un entraînement effectué en nature, durant lequel le coureur ''s'amuse'' à varier ses allures de course et la durée des efforts au gré de ses envies et de ses sensations. Une séance de fartlek n'est pas codifiée contrairement aux autres séances ''fractionné''

Samedi: départ 7h.... sous la pluie... France/Angleterre oblige.... se réhabituer à se couvrir !!! Sortie en début de soirée... dans les conditions de départ d'Aulnat... j'adore ces bi'séances, moins usante qu'une sortie de 3h 1/2

4 à 6  sorties hebdomadaire,(suivant mon temps libre)  dont une grande partie du volume est  réalisé durant le WE !  Difficile de consacrer plus d’une heure trente en semaine, ces séances sont réalisées à  allure marathon où allure 100 afin de ne pas me « brider ». On s’ankylose très vite lorsqu’on est VH2 ! 

Le WE étant réservé aux  sorties longues (SL) afin de finaliser ma VS (Allure spécifique 24 h) qui me fait tant défaut en début d'épreuve. Ces SL sont indispensables surtout sur   un plan psychologique, cela me rassure, mais dans  le même temps j'y prends énormement de plaisirs. 

En conclusion : il faut impérativement que cette allure VS 24… (8/8,5 km/h) devienne mon allié… et non pas ma bête noire ! Mais après reste la stratégie de course…. Mais  là c’est encore une autre  histoire…. Non non  JP…. J’me prends pas la tête ... j’essaye juste de courir avec elle, et finir ensemble mon prochain double tour d’horloge ...

C’est en courant, que je regagne Izernore au pied des monts du Berthiand. 50 minutes d’échauffement. Un anti-stresse d’avant départ très efficace ! 

19 hrs, comme d’hab’ je pars en dernière position…. je ne veux rien manquer de  ce long serpentin de 198 coureurs de cette deuxième édition de l’Izernitgh.

Prime des sponsors… pour le premier entrant dans le bois … c’est malin !

Résultat… je dois « déjà » cravaché dur…. pour revenir sur « le gros du guettepo », car au km… 2 c’est le passage sur l’Aqueduc… Il s’agit d’un ancien canal à ciel ouvert de 800m construit dans les années 1890. A la queue leu leu… ça bouchonne… et ça m’agace… et à la sortie il y a la passerelle de l’Oignin, affluent de la rivière de l’Ain, espace privilégié pour les amateurs de pêche, l’Oignin change régulièrement d’aspect, tantôt marais, tantôt gorges, tantôt marmites et mon tout se terminant par un lac.   A la sortie de ce passage… clignotant à droite…. Un grand coup d’accélérateur… queue de poisson à tous ces coureurs… qui soufflent comme des bœufs et qui sont partis en premiers ligne ! 

Direction l’usine électrique des trablettes construite en 1912, aujourd’hui automatisé… j’adore se trou ! Où se mélange l’autrefois au moderne… l’eau captée par le barrage, chute de 60 m par une conduite en acier de 1,80 m de diamètre… d’époque !  Là je dirai… que je suis en « chasse patate »  j’suis à c’est instant entre les derniers et le « gros du gruppetto »  2 km en dévers… sur un sol glissant et racineux ! C’est pas la joie… de plus j’y vois que dalle ! Dès que ça monte… j’aperçois au loin les lueurs des frontales… dés que ça descend, c’est le trou noir ! C’est juste une expression, car je connais comme ma poche ce secteur… pour l’avoir parcourue en long et en large… à randonnée, en VTT où en promenade du dimanche… sans les habits… coin toujours humide !

Ici la nuit devient moins noir… fini le sentier des gorges, direction le plateau de la Belloire et son terrain de cross équin. Je remonte les concurrents un par un… et ça m’amuse ! Et déjà le premier ravito. Ici j’ai des souvenirs… comment dire…. de sueurs très froide et de fierté. Jadis ici se trouvait…. l’un des plus beau et difficile et dangereux  parcours de cross équin de la région voir de France. J’rassure… j’suis monter que 2 fois sur un « canasson »  et ça m’a suffit !   Il faut dire que passer d’une selle à vélo à un selle de « canasson » la foulée est immense !

Nous ne le serons jamais, mais sans ce pépin de la vie… je me serez certainement pas en train d’écrire ce compte rendu…j’serai sûrement  au volant d’un « van »  accompagnant mon fils sur un concours.  Le « bougre » il était fait pour ça ! Il aimait les chevaux… et l’adrénaline du saut d’obstacle et surtout du cross … vous avez tous vu ces images où le cheval s’étale sur un obstacle, quand celui-ci ne retombe pas sur son cavalier. de nombreuses sueures froides, quand votre minot de 16 ans, monte « Hidao » cheval imprévisible et revient seul !!!! Il se destinait à une carrière de cavalier.  Avec le recul… ce n’est pas plus mal que ce site soit fermé…. Des angoisses en moins pour les familles ! j'rassure tout le monde, aujourd'hui il va bien... le monde du cheval n'est plus qu'un lointain souvenir.

Au faite, pourquoi se titre : parce que tout au long du parcours est jalonné des figurines d’halloween … sensible s’abstenir La montée sur le « col  d’Ijean » n’est pas simple… au programme des D+ sympas… et des bains de boue… à mettre le Claude en colère… au sommet un  long chemin  nous amène sur le deuxième ravito (Km 12 en 1h30 tout rond) j’allonge la foulée, j’dois frôler le 10 … les trentenaires… souffre…ça m’amuse… j’suis en état de grâce !

Moi, vicieux…. Non, non… juste ancien cycliste ! Près le ravito, 1,5 de montée sur route… et celle-là je l’affection… je la savoure  et ça craque derrière…. ça m’amuse… je connaît chaque cm, je sais quand il faut relevé le pied, et quand remettre une couche ! Ça m’amuse…. Je joue les tontons flingueurs ! Sur le plateau de Charbillat je déroule…. J’suis dans mon jardin… à  10 minutes de la maison… de plus je viens d’y passer dans l’autre sens 1 heure avant !

C’est quoi ce binz… un 90° à droite ! Putaing suis mal !  Ah les cons… ils vont nous faire montée au pylône… pour voir les étoiles ! Planter le Claude… merde le logiciel n’avait pas prévu ça… avec mes pompes usées c’est la galère, c’est du 15% assuré…. dans la descente …. tous les jeunots me redoublent …. Le Claude a perdu de sa « splendeur »  le pied pas très marin… la frontale éclair que dalle,  j’assure ce n’est pas le moment de jouer au va-t-en-guerre…. j’ai toujours cette épée de Damoclès au dessus de la tête, une chute sur mon épaule et sans serai  fini de la CAP pour très longtemps. 

Mon objectif… puisque l’ami JP… n’est pas  là finir dans les 100 premiers… alors de retour dans mon jardin de « Charbillat » je déroute de nouveau… large chemin de 4X4, ça j’affectionne… de la route, mais en plus souple ! Je reprend un à un « les minots » dès que ça monte… il passe en « mode marche »  moi, j’pense à ce petit « raidillon » à la  sortie du stade d’Aulnat qu’il faudra franchir cent soixante six fois, virgule soixante six !!!! Dans la descende… troisième chute dans une flaque de boue, alors là la tête commence à lâcher et là rebelote mes compagnons me redoublent… et ce qui m’énerve le plus où chatouille  mon amour propre … c’est que je ne  connaît pas ce bout de chemin… certainement nouveau… ici ça pousse comme des champignons… grâce au moto verte… merci les gars ! Une vrai galère cette descente… j’y vois que dalle… saloperie  de frontale … quand au troisième ravito, je réalise que mes lunettes en sont la causse !

Reste 6 km… sans les lunettes… comme en plein jour…. Champs, chemin agricole, remonter sur Tignat, l’arrivée et à 500 m… à vol d’oiseau, le speaker annonce les arrivée et j’entend 2 h 28 pour Sébastien, est-ce mon neveux triathlète ? Mon objectif de 3 hrs est toujours réalisable… les cannes sont « en braise » mais le cœur y est ! Que c’est bon…. De nouveau  je joue au yoyo… mais je commence à trouver le temps long, autant que nous nous renfonçons dans la forêt… eh ça suffit, je n’ai pas pris un abonnement ! Dernière montée… dernier coup de rien… pour aller chercher quelques places et c’est dans l’indifférence que je  passe devant le temple Gallo romain…. nos historiens pense qu’il  était dédié à Mercure même si certains pensent qu'il est consacré à Mars …Eh  les gars ils faut vous mettre d’accord !

Qu’est-ce que c’est « chiant » lorsque vous connaissez les lieux… et que l’on vous fait passer par les chemins de traverses… dernière montée dans un champ et la délivrance, surprise mon fils est là, chouette la photo sera belle ! Temps final : 3 h 05 moyenne 8,108 km/h avec un  mal au ventre, ce trial m’a laissé sur sa faim ! Très bonne sensation au niveau course, par contre côté de la technique …. un désastre. J’avais programmé un retour comme l’allé…. Mais ayant un chauffeur de luxe… pourquoi s’en privé.